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Relations internationales du laboratoire
L'activité internationale du laboratoire LLA-Créatis est envisagée comme une garantie de la qualité scientifique des travaux développés dans les différents programmes de recherche fondamentale et applicative. Elle se décline sous de nombreuses formes, qui montrent aussi bien le rayonnement du laboratoire que son attractivité depuis l'étranger.
Il s'agit :
- De programmes de recherche internationaux sur appels d'offres ou contrats : ANR, Commission européenne, Eurorégion...
- De partenariats effectifs, formalisés par des accords spécifiques : avec la Colombie, le Canada, le Brésil, la Mauritanie, l'Algérie, la Chine...
- D'accueils de chercheurs invités pour de séjours de courte ou de moyenne durée, sur fonds divers : ambassade de France, AUF, Université d'origine (UNED Madrid...), dispositif des professeurs invités de l'Université de Toulouse 2 (Saint-Jacques de Compostelle, Granada...)
- D'accueil de doctorants ou de post-doctorants étrangers, encadrés par un chercheur de LLA-Créatis spécialiste de la discipline : musicologie, littérature française, traductologie... En provenance de : Roumanie, Canada, Allemagne, Italie, Finlande...
- De thèses de doctorant en cotutelle : avec le RTRH de Giessen, l'Université de Louvain-La Neuve, la Durham University, l'Université de Montréal, l'Université du Québec à Montréal, l'Université Laval, l'Université de Sousse, etc.
- De co-organisation de colloques, journées d'études et séminaires, ainsi que de co-publications d'ouvrages avec des chercheurs étrangers.
- De participations à de très nombreuses manifestations scientifiques internationales.
Plus d'informations sur les relations internationales à l'Université Toulouse Jean Jaurès et à l'Université Fédérale Toulouse Midi-Pyrénées
Actualités :
Le projet TransMigrArts obtient un financement de la Commission Européenne (H2020).
Porté par le laboratoire LLA-CREATIS, le projet s’appuie sur un large réseau de collaboration internationales pour travailler sur le sentiment de vulnérabilité des personnes migrantes via des ateliers artistiques.
80 millions d'euros pour soutenir les chercheurs et les innovateurs
La Commission européenne vient de sélectionner 74 nouveaux projets pour soutenir la collaboration scientifique dans le cadre de l'appel à propositions 2020 Research and Innovation Staff Exchange (RISE), du programme d’Action Marie Skłodowska-Curie.
Avec un budget de 80 millions d'euros, cet appel vise à encourager des collaborations internationales et intersectorielles à travers des échanges de personnel de recherche et innovation, ainsi que le partage de savoirs et d'idées de la recherche vers le marché (et inversement) pour l'avancement de la science et le développement de l'innovation.
Issus de 137 pays différents, les chercheurs et innovateurs retenus travailleront ensemble pour relever des défis mondiaux tels que le changement climatique, la pandémie COVID-19 et la numérisation.
Parmi eux, le projet TransMigrArts - Transforming Migration by Arts, un exemple de recherche-création lourd de sens. Porté par Monique Martinez, professeure au laboratoire LLA CREATIS, le projet « TransMigrArts » vise pendant 4 ans à observer, évaluer, modéliser et animer des ateliers artistiques (théâtre, danse, clowns, musique et performances) pour les migrants en situation de vulnérabilité.
Associant entre autres l’Espagne, le Danemark, la Colombie, les échanges de personnel créeront un réseau de chercheurs, d'artistes et d'experts de 14 structures européennes et latino-américaines : universités, laboratoires de recherche, associations culturelles et entreprises. En partenariat avec notamment les universités d'Antioquia, d'Aarhus, Francisco José de Caldas de Bogota, de Grenade, le Centro Universitario de Artes TAI de Madrid, les associations « Les Anachroniques » et « Nuevo Teatro Fronterizo », la compagnie BATACLOWN ou encore le Conseil supérieur de la recherche scientifique d’Espagne. Au total, plus de centaines de personnes participent au projet.
Les résultats de leur travail auprès des migrants devraient s'appliquer à d'autres populations vulnérables, telles que les victimes de la guerre, les femmes, les enfants, les personnes âgées, les handicapés, les malades ou les personnes vivant dans la pauvreté.
80 millions d'euros pour soutenir les chercheurs et les innovateurs
La Commission européenne vient de sélectionner 74 nouveaux projets pour soutenir la collaboration scientifique dans le cadre de l'appel à propositions 2020 Research and Innovation Staff Exchange (RISE), du programme d’Action Marie Skłodowska-Curie.
Avec un budget de 80 millions d'euros, cet appel vise à encourager des collaborations internationales et intersectorielles à travers des échanges de personnel de recherche et innovation, ainsi que le partage de savoirs et d'idées de la recherche vers le marché (et inversement) pour l'avancement de la science et le développement de l'innovation.
Issus de 137 pays différents, les chercheurs et innovateurs retenus travailleront ensemble pour relever des défis mondiaux tels que le changement climatique, la pandémie COVID-19 et la numérisation.
Parmi eux, le projet TransMigrArts - Transforming Migration by Arts, un exemple de recherche-création lourd de sens. Porté par Monique Martinez, professeure au laboratoire LLA CREATIS, le projet « TransMigrArts » vise pendant 4 ans à observer, évaluer, modéliser et animer des ateliers artistiques (théâtre, danse, clowns, musique et performances) pour les migrants en situation de vulnérabilité.
Associant entre autres l’Espagne, le Danemark, la Colombie, les échanges de personnel créeront un réseau de chercheurs, d'artistes et d'experts de 14 structures européennes et latino-américaines : universités, laboratoires de recherche, associations culturelles et entreprises. En partenariat avec notamment les universités d'Antioquia, d'Aarhus, Francisco José de Caldas de Bogota, de Grenade, le Centro Universitario de Artes TAI de Madrid, les associations « Les Anachroniques » et « Nuevo Teatro Fronterizo », la compagnie BATACLOWN ou encore le Conseil supérieur de la recherche scientifique d’Espagne. Au total, plus de centaines de personnes participent au projet.
Les résultats de leur travail auprès des migrants devraient s'appliquer à d'autres populations vulnérables, telles que les victimes de la guerre, les femmes, les enfants, les personnes âgées, les handicapés, les malades ou les personnes vivant dans la pauvreté.