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Les traducteur.ices et interprètes face aux récits d'abus sexuel
Publié le 17 décembre 2025 – Mis à jour le 17 décembre 2025
du 16 décembre 2025 au 8 juin 2026
Revue La Main de Thôt n°15
Ce numéro invite à s’interroger sur la traduction orale (interprétation) comme écrite des abus sexuels dans divers contextes, dans la fiction comme dans la réalité, par exemple lors de
conflits historiques (le viol comme arme de guerre) ou dans un cadre institutionnel (notamment les institutions face aux VSS ou les témoignages à la barre pour des faits de violences sexuelles et sexistes dans le cadre familial ou professionnel). Les langues d’écriture sont l’anglais, le français, l’italien et le catalan, mais l’éventail de langues étudiées pourra être plus large (les contributions portant sur les langues rares et la LSF sont encouragées).
Les propositions pourront suivre les pistes suivantes de cette liste (non-exhaustive) :
- Étude de cas sur un récit d’abus sexuel en fiction (littérature, audiovisuel) ou non-fiction (témoignage publié, interprétation dans une cour de justice), avec sa version originale et sa traduction ;
- Approche théorique sur la positionnalité et le traumatisme vicariant chez les interprètes et les traducteur·ices ;
- Étude du contexte éditorial pour les publications de traductions de récits d’abus (prise en compte ou effacement de l’abus et/ou de la référence à la traduction dans le paratexte) ;
- Analyse des contextes médicaux et juridiques nécessitant un·e interprète, notamment en LSF ;
- Recours aux études en psychanalyse ou trauma studies pour l’analyse de récits d’abus sexuel.
Pour visualiser l'appel à contribution, merci de télécharger le document.
Les propositions d’articles sont à envoyer pour le 08 juin 2026 au plus tard à cette adresse :
julie.loison-charles@sorbonne-nouvelle.fr
conflits historiques (le viol comme arme de guerre) ou dans un cadre institutionnel (notamment les institutions face aux VSS ou les témoignages à la barre pour des faits de violences sexuelles et sexistes dans le cadre familial ou professionnel). Les langues d’écriture sont l’anglais, le français, l’italien et le catalan, mais l’éventail de langues étudiées pourra être plus large (les contributions portant sur les langues rares et la LSF sont encouragées).
Les propositions pourront suivre les pistes suivantes de cette liste (non-exhaustive) :
- Étude de cas sur un récit d’abus sexuel en fiction (littérature, audiovisuel) ou non-fiction (témoignage publié, interprétation dans une cour de justice), avec sa version originale et sa traduction ;
- Approche théorique sur la positionnalité et le traumatisme vicariant chez les interprètes et les traducteur·ices ;
- Étude du contexte éditorial pour les publications de traductions de récits d’abus (prise en compte ou effacement de l’abus et/ou de la référence à la traduction dans le paratexte) ;
- Analyse des contextes médicaux et juridiques nécessitant un·e interprète, notamment en LSF ;
- Recours aux études en psychanalyse ou trauma studies pour l’analyse de récits d’abus sexuel.
Pour visualiser l'appel à contribution, merci de télécharger le document.
Les propositions d’articles sont à envoyer pour le 08 juin 2026 au plus tard à cette adresse :
julie.loison-charles@sorbonne-nouvelle.fr