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Estampons les poèmes !
Publié le 16 septembre 2025 – Mis à jour le 16 septembre 2025
le 20 septembre 2025
de 14h00 à 17h00
Au local de l'ancienne Librairie Etudes (entrée UT2J)
Université Toulouse Jean Jaurès
Journée du Patrimoine - Exposition présentée par Claire Gheerardyn
Nos villes et nos paysages sont pleins de textes gravés en creux ou en relief.
Dès le VIIe siècle de notre ère, les lettrés chinois entreprennent de relever, par frottage à l’encre, l’empreinte de textes gravés dans la pierre ou le bronze. En archéologie, cette technique – appelée « l’estampage » – a longtemps joué un rôle essentiel dans la connaissance des inscriptions anciennes.
Cette petite exposition de « retour de terrain », restituant une pratique de recherche encore en cours de construction, présentera des « estampages » réalisés dans la région, en France et au Canada, dans le cadre du projet IUF « Poésie in situ : des poèmes dans l’espace public ».
Estamper des poèmes anciens et contemporains, c’est chercher connaître notre patrimoine, c’est imaginer de nouvelles pratiques pédagogiques, c’est réfléchir à nos manières d’être dans l’espace public et dans les paysages, et enfin c’est s’autoriser à vivre autrement les œuvres d’art qui nous entourent.
Dès le VIIe siècle de notre ère, les lettrés chinois entreprennent de relever, par frottage à l’encre, l’empreinte de textes gravés dans la pierre ou le bronze. En archéologie, cette technique – appelée « l’estampage » – a longtemps joué un rôle essentiel dans la connaissance des inscriptions anciennes.
Cette petite exposition de « retour de terrain », restituant une pratique de recherche encore en cours de construction, présentera des « estampages » réalisés dans la région, en France et au Canada, dans le cadre du projet IUF « Poésie in situ : des poèmes dans l’espace public ».
Estamper des poèmes anciens et contemporains, c’est chercher connaître notre patrimoine, c’est imaginer de nouvelles pratiques pédagogiques, c’est réfléchir à nos manières d’être dans l’espace public et dans les paysages, et enfin c’est s’autoriser à vivre autrement les œuvres d’art qui nous entourent.