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TRASH, PUNK : le corps dans tous ses écarts
Publié le 7 janvier 2019 – Mis à jour le 14 février 2019
le 31 janvier 2019
Jeudi 31 janvier 2019 de 9h00 à 18h00
Université Toulouse-Jean Jaurès
Maison de la recherche
Amphi F 417
Journée d'étude
Cette journée d’études oriente le propos vers une autre approche du « corps troublé », hors norme voire hors représentation. Elle vise à montrer comment le corps peut aussi être « travaillé », comment ses limites peuvent être débordées, pour qu’il devienne objet de fascination, de répulsion et en tout cas de questionnements : de quelles valeurs esthétiques, politiques, le corps est-il le réceptacle et le foyer privilégié ? Le titre donné à cette journée d’études porte de façon certaine les traces de contextes qu’il faudra redéfinir, qui orientent vers des questions d’esthétique, mais aussi vers des questions
liées aux problématiques culturelles et historiques (culture punk), sociologiques et culturelles (trash). Peut-on parler d’esthétique trash et punk ? Quand on peut identifier du trash et du punk, quelles sont les limites de leur esthétisation ? Le trash et le punk résistent-ils à toute codification, à la stabilisation dans une forme esthétique, ou peuvent-ils devenir un genre, à l’instar du gore ?
Le trash et le punk sur les scènes théâtrales, littéraires et cinématographiques contemporaines sont-ils encore transgressifs ? Dans quelle mesure les oeuvres trash ou punk revêtent-elles une fonction de subversion et de déstabilisation des stéréotypes liés aux représentations du corps, du sexe, de la violence, de la mort ? Ces styles – qu’il conviendra de cerner et caractériser – permettent-ils de montrer des scènes – particulièrement au théâtre –que l’on ne montre pas habituellement. Quel est l’enjeu de ces styles si l’on considère les média qui les exposent ? En particulier quelle est la part d’investissement du trash et du punk en fonction du médium ? Certains media par exemple seraient-ils plus accueillants pour ces styles, comme la littérature, le cinéma, la télévision, les clips musicaux ? Quels sont les enjeux artistiques – cinématographiques, dramaturgiques, littéraires – et politiques des créations qui convoquent ces styles et esthétiques ?
Le programme de la journée est disponible. liées aux problématiques culturelles et historiques (culture punk), sociologiques et culturelles (trash). Peut-on parler d’esthétique trash et punk ? Quand on peut identifier du trash et du punk, quelles sont les limites de leur esthétisation ? Le trash et le punk résistent-ils à toute codification, à la stabilisation dans une forme esthétique, ou peuvent-ils devenir un genre, à l’instar du gore ?
Le trash et le punk sur les scènes théâtrales, littéraires et cinématographiques contemporaines sont-ils encore transgressifs ? Dans quelle mesure les oeuvres trash ou punk revêtent-elles une fonction de subversion et de déstabilisation des stéréotypes liés aux représentations du corps, du sexe, de la violence, de la mort ? Ces styles – qu’il conviendra de cerner et caractériser – permettent-ils de montrer des scènes – particulièrement au théâtre –que l’on ne montre pas habituellement. Quel est l’enjeu de ces styles si l’on considère les média qui les exposent ? En particulier quelle est la part d’investissement du trash et du punk en fonction du médium ? Certains media par exemple seraient-ils plus accueillants pour ces styles, comme la littérature, le cinéma, la télévision, les clips musicaux ? Quels sont les enjeux artistiques – cinématographiques, dramaturgiques, littéraires – et politiques des créations qui convoquent ces styles et esthétiques ?