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Soutenance de thèse de Jainer Leon

Publié le 4 novembre 2020 Mis à jour le 4 novembre 2020
le 23 octobre 2020
Vendredi 23 octobre 2020
à 14h00
En visoconférence

« Cuestiones de transparencia: una instauración escultórica a partir de la casa de pique en Colombia » « Questions de transparence : une instauration sculpturale à partir de la maison-hachoir en Colombie »

Membres du jury :
  •  Gretchen Schiller, Professeure des Universités, directrice de la Maison de la création de l' Université de Grenoble.
  • Oscar Cornago, Chercheur au CSIC, Madrid.
  • Francisco Ramos, Professeur, Université Distrital Francisco José de Caldas de Bogotá.
  • Emmanuelle Garnier, Professeure, Université Toulouse 2 -Jean Jaurès.
  • Monique Martínez Thomas, Professeure, Université Toulouse 2 -Jean Jaurès.


Resumen :
La presente investigación, basada en la práctica escultórica estudia la transparencia interpretada a partir de la imagen de la denominada casa de pique en Buenaventura, Colombia, mediante una postura crítica del lenguaje escultórico en los campos histórico, político y social, que se hacen evidentes en la historia de la violencia en Colombia. Se entiende aquí la obra escultórica como un dispositivo estético, según la definición de la Crítica de los dispositivos planteados desde La escuela de Toulouse. Esta tesis se desarrolla en tres partes: la primera es una exploración del proceso de la investigación-creación y más precisamente la investigación basada en la práctica escultórica. La segunda parte se desarrolla a partir de la casa de pique, la transparencia y las ocultaciones que esta imagen tiene en los diferentes escenarios de la violencia en Colombia, entendiéndola como una Fantasmagoría sin olvido, título de la obra producto de este trabajo. Igualmente se investigan autores y artistas de la transparencia para poder crear un marco teórico pertinente. La tercera parte se centra en el proceso creador de la obra y presenta, in fine, ciertas conclusiones en cuanto a la experiencia estética.


Résumé :
Ce travail de recherche création étudie la transparence à partir de l’image de la « maison-hachoir » – casa de pique – à Buenaventura, en Colombie, à partir d’une position critique du langage sculptural, dans les domaines historique, politique et social, révélée par l’histoire de la violence en Colombie. L’œuvre d’art est ici comprise comme un « dispositif esthétique », selon la définition qu’en donne la Critique des dispositifs de L’école de Toulouse. Cette thèse se développe en trois parties : la première est une exploration du processus de recherche-création et plus précisément la recherche basée sur la pratique sculpturale. La deuxième partie analyse la “réalité” de la maison-hachoir, et explore les notions de transparence et d’occultation, considérées comme une Fantasmagorie sans oubli, pour reprendre ici le titre de l’œuvre sculpturale produite dans le cadre de ce travail. Dans cette partie de la thèse est également présentée une synthèse des auteurs et des artistes de la transparence, afin de pouvoir créer un cadre théorique pertinent. La troisième partie est centrée sur « l’instauration sculpturale » réalisée dans le cadre de cette thèse en recherche-création, entendue comme un dispositif esthétique. Elle analyse le processus créateur de l’œuvre sculpturale produite et présente, in fine, certaines conclusions quant à l’expérience esthétique.